BIENTOT PARIS VERSAILLES

PARIS VERSAILLES

La participation au Paris-Versailles a été décidée il y a quelques mois.

Commence la phase communication :tous les membres de Run in Crès reçoivent l’info, on en parle aux entrainements, etc..

Plusieurs cas de figure se présentent : les « pas intéréssés du tout», les «faut voir», les «pourquoi pas» et les «ça va pas, je suis incapable de faire 16kms» (ils se reconnaîtront).

Les"faut voir" et les "pourquoi pas" sont vite convaincus, émulation oblige.

Commence la phase encouragement. On explique que rien n’est impossible avec un plan adapté, en citant en exemple la préparation du Marseille Cassis. On rassure en disant que l’objectif serait de faire la distance sans se soucier du chrono, le plaisir avant tout. Bingo, les «ça va pas...» rejoignent les «pourquoi pas» 18 cressois seront donc sous la tour eiffel dans quelques jours.

Arrive la phase préparation. Pour certains, les pros du macadam et des trail, pas d’entrainement spécifique, 16 bornes c’est une pacotille. Pour les autres, Olivier concocte un plan sur 8 semaines. Réaction à la découverte des séances de torture : sympa, houlala, c’est trop dur, j’aurais pas dû m’inscrire...

Retour de la phase encouragement.

Depuis le 6 aout nous suivons ce plan minutieusement. Certains le connaissent par coeur, d’autres se laissent guider.

Les séances de côtes, hantise d’une majorité, ont été faîtes presque sans difficulté, les sorties longues... sont devenues plus longues, les fractionnés à 80 ou 85% de FCM n’ont plus de secrêt pour nous : on serre les dents, on tire sur les bras et ça passe.

Ce plan est bientôt terminé. Nous sommes tous prêts, mais il faut quand même se rassurer : footing avec quelques côtes. Des côtes??? Pff, fingers in the nose!

Une rumeur circule autour du lac depuis quelques temps : Et si nous allions à New York en 2014? Ce n’est peut-etre pas qu’une rumeur, donc il y aura les «pas intéréssés du tout», les «faut voir», les «pourquoi pas» et les «ça va pas, je suis incapable de courir un marathon». Je vous laisse imaginer la suite....

Hélène